dimanche 8 janvier 2017

REV...ANCHE

(Ceci n'est pas un songe)

C'est quand même rare que mes rêves prennent la forme de films
de science fiction post apocalyptique...
...Mais attention c'est très personnel,
ça reste entre nous ce qu'il se passe sur ce blog hein ?
Ce rêve commence dans mon lit, allongé, 
j'ai faim, pas mangé depuis plusieurs jours, 
les pièges ne donnent rien depuis des semaines, je ne comprend pas pourquoi.
Alors pour tuer le temps j'essaie de lire, mais il y a pire, 
j'ai fini tout mes livres.
Tout ça est déprimant.
Je suis allongé là et tout d'un coup des vibrations se propagent au sol, aux murs...
Mon sang ne fait qu'un tour, 
j'ai peur, c'est un tremblement de terre EXTREMEMENT PUISSANT !
(ceux qui ont déjà vécu des tremblements dévastateurs développent comme un sixième sens)
Si je reste je vais mourir.
En une seconde debout !
Une autre seconde suffit a jeter mon sac a dos par la fenêtre, 
(car il est impossible de courir avec dans les escaliers)
Une autre seconde et me voila dans le couloir...
Il y a un niveau en dessous de cette déprime ?
Eh oui, le moral au plus bas, je marche dans les terrains vague près de mon ancien chez moi,
car tout a disparu dans l'effondrement de l'immeuble,
tout mes livres ont disparu sauf le plus important,  planqué dans ce fichu sac a dos.  ;-(

Et puis une vision extraordinaire surgit au détour d'un buisson :
2 lapins sont là sur l'herbe sans bouger,
comme s'ils attendaient de se faire attraper (ou étriper, au choix) :-)
Je n'en crois pas mes yeux, mais mon corps lui réagit tout de suite,
attrapant une caillasse a ma porté je cours déjà et la lance sur le plus proche,
BOUM !  ET D'UN !
L'autre a un moment d'hésitation en face de son terrier ? 
trop tard, RE BOUM !  ET DE DEUX !

EXTRA ! Je vais pouvoir festoyer plusieurs jours, 
décidément cette mâtiné a un goût moins amer.

J'étais en train de cueillir des fines herbes pour accompagner
quand j'entendis des rires d'enfants se dirigeant par ici...
J'allais voir prudemment, et voici que plus loin je vois une scène extraordinaire :
Un couple et leurs trois enfants, arrêté au bord de la route,
heureux de se dégourdir les jambes...
Et quoi ? faisant des photos ?
 On se croirait revenu des années avant.

Avant que la guerre nous divisent tous les uns contre les autres, 
réduisant aujourd'hui notre horizon au seul parcours que l'on peut faire a pied en une journée...

Je me cache, cela est suspect, 
y a t'il des gens hostile et armés qui les accompagne ??
Cette cachette n'a pas tenu longtemps, un des mioches m'a repéré et désigné du doigt.
Bon ben je suis obligé de me lever non?

J'ai l'air malin avec mon bouquet d'herbe (dont une fleur), et les lapins qui dépassent du sac...
Tout de suite les parents prennent peur, 
(enfin une réaction normal) 
le père prend un baton qui trainait par terre et se dirige vers moi.
La plus petite, inconsciente a chipé l'appareil des mains de sa mère et cours vers moi mais pour  prendre une photo.

Tout se passe très vite :
la mère cri quand sa fille lui échappe, 
le père avance plus vite mais a contre coeur,
je vois tout de suite que j'ai a faire a un type qui ne sait jamais battu, 
ne sait même pas comment prendre ce baton qui lui échappe presque des doigts, 
il est terrorisé a l'idée même de se battre mais qui sait ce qu'il est capable de faire
avec l'énergie du désespoir?

Il n'est pas très costaud, un coup au genou, un coup a la tête et c'est réglé, 
mais mince c'est pas bien de frapper quelqu'un devant ses enfants non ?
Je suis paralysé, que faire ?
C'est une question de seconde.
Et cette fichu gosse qui continue d'avancer...
MAIS VA T'EN ! (lui dis je avec mes yeux)

Et comme par intervention divine, 
c'est un petit être de la nature qui va désamorcer cette bombe :
Un papillon se pose sur la fleur dans ma mains, 
la petite prends ce joli tableau là en photo.
Le bruit du polaroid qui sort de l'appareil fait un bruit tellement incongru
qu'en l'entendant j'éclate de rire !!
Puis tout le monde éclate de rire et se calment.

Nous faisons connaissance, l'homme est mécano? ingénieur? je ne sais plus,
ce couple s'est enfui d'une ville a quelques dizaines de kilomètres de là.
L'une des dernières ville qui tient encore debout
et qui s'est depuis longtemps transformé en dictature,
ils cherchent un endroit sûr, un autre endroit où tout le monde vie heureux dit on,
bla bla bla...
(ce qu'ils ont entendu par radio amateur)

Quelle Utopie ! que croient ils trouver ici? 
Vous n'avez pas peur des coupeurs de route leur dis je?
Ils répondent qu'il n'y a rien de pire que ce qu'ils vivaient la bas.
Je leur répond qu'il n'y a rien de pire que de vivre ici.
Vous risquez de tomber sur des ''bandidos'' a coup sùr.
(c'est ainsi que je les appel)
Je m'adresse au père mais d'une manière assez forte pour que tout le monde entende,
les bandidos te prendront tout,
femme et enfants compris et te laisseront nu dans le désert si tu as de la chance.
Il n'a pas l'air d'avoir peur,
alors je lui parle des desperados:
Ces gens là te feront la même chose mais en plus ils te mangeront...

Le père m'entraine a l'écart avant que je finisse ma phrase,
de toute façon ils ne peuvent pas rentrer car ce serait l'arrêt de mort pour lui et sa compagne...
Il me demande si je peux venir avec eux,
les protéger par mes connaissances du terrain et des gens...

Certes, pourquoi pas?
Que pourrai je faire de plus ici ?
avec eux je voyagerai en essayant de trouver un endroit moins hostile...
J'accepte, cela m'enchante, de toute façon je partirai quand je voudrai.
Préparons le campement...

Tout a ma joie d'avoir trouvé de nouveaux amis
je décide de leur préparer un sublime festin de lapin.
Je fais de grand gestes en les préparant,
comme on m'a appris étant petit, rapide et précis,
les enfants sont visiblement impressionné, le père confiant...
...mais le regard de la mère s'est changé de la crainte il y a quelques heures
au mépris affiché.
Eh eh ! quand elle sentira les douces effluves du civet qui mijote elle changera d'avis.

Et c'est le cas, nous passons une superbe soirée,
les invités sont ravis et se régalent,
j'en profite pour raconter des histoires fantastique.
Les enfants sont suspendu a mes lèvres,
c'est la première fois qu'ils sortent de la ville.
J'en étais a conter mes exploits de chasse
quand la femme a décidé de me ''casser'' en me comparant aux ''chasseurs-cueilleurs'',
sous entendu les primitifs qui peuplaient le monde a la préhistoire.
Vexé dans mon amour propre, je ne sais que répondre,
voici la pente vers laquelle elle veut mener pour me ridiculiser ?
C'est dingue, je me mets en quatre pour eux les invite
et suis même prêt a monter la garde (car ils ne sont pas fichu de le faire)
et voila comme on me remercie?! 
J'ai le vertige en constatant que vraiment je ne me suis pas frotté a la filouterie des gens de société depuis bien longtemps.
Extraordinaire, est ce son tempérament? 
Est ce que je vais devoir supporter ce genre de pique sans arrêt pendant le trajet?
Sait elle que dans ce monde on a pas le temps de se lancer du venin par petite goutte comme elle sait si bien le faire dans son salon de thé ?
Sait elle que ici les conflits sont franc, honnête mais brutaux ?

Je ne peux décidément pas la remettre a sa place de la façon que je juge la meilleure
alors j'évacue toute cette frustration dans un rire mauvais, cynique et retentissant,
si fort que tout le monde se tait d'un seul coup.
Elle détourne les yeux, c'est bien, elle semble avoir compris mon point de vue.
Nous discutons encore un peu et nous allons dormir...

J'ai passé la journée la plus extraordinaire de toute,
assis a l'arrière de leur voiture nous nous sommes amusé comme des fous avec les enfants,
comme c'est agréable de passer le temps assis a discuter de tout et de rien, raconter des blagues...
...berçé par la route...

S'arrêter de temps en temps pour se dégourdir les jambes,
manger même leurs boites de conserve sans goût est bon quand on est en bonne compagnie  ;-)
Bon c'est vrai que j'ai du faire taire mon instinct de chasseur plusieurs fois lors des étapes
(pas envie qu'elle me fasse une remarque déplaçé encore)
mais c'est pas grave...

Le lendemains je dormais dans la voiture depuis le matin
quand vers midi la voiture fit une embardé terrible,
un tremblement de terre a visiblement fais des trous sur le bitume qui nous ont fais frôlé l'accident...
Ouf j'ai eu peur, je croyais que c'était des desperados,
mais la voiture est fichu.
Irréparable sans pièce adéquats d'après le type.

J'en profite pour me promener...
Il y a énormément de buissons qui longent des barbelés,

je m'approche, c'est un grand complexe d'usines.
Peu importe, je ne peu pas retenir mon instinct de cueilleur,
il y a énormément de mûres, et si bonne, j'en cueille par brassé,

les gosses me suivent et en mangent aussi,
ils ne m'obéissent pas quand je leur dis de retourner a la voiture,
tant pis, je leur dis de ne pas manger ceux qui sont près du sol,
ils gobent cela comme des bonbons...
Et puis en allant plus loin je vois une ouverture entre les barbelés,
assez grande pour faire passer un homme.
Je décide d'y aller, encore une fois les mioches me suivent,
je m'énerve, le parents qui m'ont rejoins entre temps décident qu'on doit tous rester ensemble,
qu'il faut aller voir si on peut trouver de quoi réparer la voiture.

Bon ben on y va ...

C'est vraiment grand, nous longeons des bâtiments étrange, sans fenêtres,
certains ont été entièrement détruit par des incendies.
Nous entrons dans l'un d'eux :
Nous voyons des choses horrible, des incubateurs,
des laboratoires, apparemment on a fait des expériences ici sur des êtres humains,

et des animaux.

et aussi sur ce qu'il semble être des hybrides...

(je ne montre pas trop d'images horrible ici)

Je n'ai jamais vu d'animaux de ce genre dont il reste juste les squelettes.
J'ai envie de vomir, pourquoi avoir fais cela ?
Les rumeurs entendu avant ''la chute'' étaient donc vrai ?

J'ai peur, il ne faut pas rester ici, je leur dis au moment d'entrer dans un autre bâtiment.
C'est un peu tard, car l'ingénieur est maintenant admiratif, nous sommes dans un entrepôt qui a l'air de faire son bonheur...

Maintenant la mère s'affole aussi, il faut partir,
nous essayons de retrouver la sortie mais nous nous perdons,
les rues sont propre comme si des gens vivaient encore ici.

Effectivement des silhouettes nous observent des fenêtres...
D'autres aux coins des rues qui s'enfuient a notre vue.
C'est bizarre, ces gens ont des formes étrange...
...comme des excroissances qui transparaissent de leurs vêtements.
Peut on même parler de vêtements?
ce sont des haillons rapiécé et troué.
Beaucoup sont pied nu.

Ces êtres ont de moins en moins peur et s'approchent de nous,
ils sont nombreux, la curiosité les poussent a se presser prés de nous,
j'avance et tente de nous dégager de force, que veulent ils?
Leur apparence est terrifiante et les enfants pleurent déjà,
s'accrochant a leur parents, tétanisé eux aussi par la peur.

Je m'apprête a user de toute la violence possible
quand nous entendons des coups fort sur le sol,
des vibrations , cela se rapproche.

MUSIQUE DE CIRCONSTANCE

Ce n'est pas un tremblement de terre, mais cela fait presque plus peur.
Moi aussi je suis maintenant tétanisé, incapable de bouger
et voila que cela se rapproche.
Tout les pauvres hères fuient dans les bâtiments en vitesse.

Une jeune femme arrive a ma rencontre, affolé,
elle me commande de me cacher dans un coin de la rue.
Je lui obéit au même moment où une gigantesque machine d'acier arrive
dans un vacarme effroyable.


Cette chose a des lasers en guise d'oeil faite pour repérer toutes trace de vie,

Les lasers on scanné en quelques secondes toute la rue,
mes compagnons sont repéré et une voix
sortant de ce golem d'acier leur commande de ne plus bouger sous peine de mort.
Ces derniers pleurent tous maintenant, n'osant bouger.

Des vigiles le suive, armé jusqu'au dents:
matraques, tasers, fusils auto...
Ils menottes mes amis et les emmènent de force

Et moi je n'ose plus bouger, collé a cette jeune femme dans un coin,
si elle n'était pas aussi joli,
j'aurai été en panique totale.

Elle s'appelle Alice, elle m'a emmené près d'un homme,
je vois a sa blouse qu'il est médecin,
le dernier médecin en fait car ce camps de concentration a brûlé en grande partie lors du dernier tremblement de terre il y a quelques jours,
qui a coincidé avec une rébellions des scientifiques
qui ont détruit toutes les installations.
Toutes les créatures dans les incubateurs ont disparu,
il ne reste que quelques cobayes humains libéré que nous avons croisé dans les rues,
une poignée de vigiles et deux trois civils comme lui et sa famille.

Je découvre toute l'horreur de l'ancien système,
sous prétexte de ''faire avancé la science''
ces gens là ont continué a faire des expériences sur les êtres humains des années après la chute, 
Pourquoi avoir attendu si longtemps pour vous rebeller?
Il me répond qu'ils ne pouvaient pas avant...
-Mais vous avez prêté serment !
-Et pourquoi vous ont ils laissé en vie malgré votre rébellion lui dis je,
prêt a l'étrangler !?

Car c'est le dernier médecin, ils sont obligé de le garder en vie,
beaucoup de personnes handicapé nous rejoignent,
et nous entourent, curieux de savoir ce qu'il se dit :
Ils sont tous malade, je ne vous fais pas le dessin des horreurs qu'ils ont du subir
et qui transparait de leurs peau...

Nous nous mettons a table pour manger, on nous sert une sorte de purée blanchâtre,
c'est immonde, on dirait qu'ils on versé du gazoil a l'intérieur quelle horreur !
Ils me regardent tous curieux de voir si je vais apprécier,
je ne dis rien par politesse, prétextant de ne pas avoir faim après ces émotions
je leur distribue mes mûres, caché dans mon sac ...
Et voila que tous s'exclament de joie en goûtant,
on dirait des enfants a qui on donne des bonbons.
Les voila tous heureux, je m'éloigne a la fenêtre...

Alice me rejoint, elle est prête a m'aider a retrouver mes amis,
mais d'abord abattre le robot qui garde le camps et protège les vigiles.
ILS VONT M'AIDER !

Elle a l'air enchanté de me connaître, j'en profite pour la détailler de haut en bas,
c'est vrai qu'elle est jolie, je la touche pour voir si elle aussi est malade comme les autres,
elle semble comprendre pourquoi et se laisse faire,
rougissant comme une pivoine.

C'est vrai quoi, je ne vais pas investir des sentiments amoureux envers une personne
qui risque de ne plus être de ce monde dans quelques années
tout de même, il faut vérifier...
Rassuré, je lui fais mon grand numéro, lui montrant la photo du papillon,
je lui parle de la fantastique nature extérieure,
de la montagne, des endroits a explorer,
des villages de bergers qui subsistent et où on pourrait aller une fois que tout ça sera fini...

PLUS TARD ...

Je ne vous raconte pas la galère que ça a été pour entasser les produits inflammable dans une fosse creusé par le séisme,
le but c'est tout simplement d'y précipiter le golem que l'on aura fait tomber
grâce a un cable d'acier assez solide et de mettre le feu a tout ça.
Il va falloir attirer la bête, c'est le plus compliqué...

La revanche a sonné, a tout les êtres humain qui ont du servir la machine depuis si longtemps, tout ceux qui sont mort sur l'Autel de la rentabilité avant la guerre, et de la guerre elle même :
VOICI VOTRE REVANCHE !!!

ça y est c'est la nuit, la bête immonde arrive, on entend le sol trembler de plus en plus, elle approche, 
Alice qui connait le terrain et qui coure super vite est en train de l'attirer par ici.
J'ai peur pour elle.
Le cable est fixé assez fort j'espère...
ENFIN !
Voici cette chose qui chute dans la fosse, 
j'ai mis le feu moi même, j'ai eu peur quand ce robot a commencé a ce relever mais l'explosion, 
qui a en même temps secoué tous les immeubles alentour, 
l'a achevé.
Les vigiles nous ont poursuivis dans les rues,
nous nous sommes bien battu, mon coup aux genoux en a fait tomber plus d'un.
Mais devant la menace des armes nous avons dû nous rendre.

Attaché dans le bureau d'un des vigiles nous attendons qu'on nous fixe notre sort.
C'est bizarre, ils ont l'air autant en panique que nous, accroché leurs talkie walki, on apprend que tout le camp s'est soulevé...ils ne savent plus quoi faire, 
Mais pour notre chance, nous qui sommes fait prisonnier, ils ignorent que la destruction du robot était prémédité sinon nous serions déjà mort.

Quelques minutes plus tard...

Alice est vraiment géniale, elle a réussi se détacher, me détacher aussi...
...j'ai réglé son compte au vigile,
désolé, un coup au genou, un coup a la tête...
Dans la bagarre on a du actionner une manette qui règle la lumière
car nous sommes dans le noir totale.

dans l'obscurité nous nous cherchons au touché, ça y est je l'ai trouvé,
je ne la lache plus, 
il reste tellement de choses a faire,
délivrer mes amis,
abattre les deux-trois derniers gardes qui restent...

...mais on a le temps, allongé sur le sol de ce bureau, 
nous explorons le corps de l'un et l'autre, 
c'est si doux, pleins d'énergies enfoui en nous s'éveillent...  ;-)

Et voila, fini, je me suis réveillé a ce moment là.

Si vous rêvez un truc semblable je vous recommande après toutes ces émotions
un bon petit déjeuner avec des croissants, chocolat chaud et jus d'orange
C'est le meilleur...

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